Après un partenariat avec EasyCash, Cdiscount poursuit le développement de son activité sur les produits d’occasion et lance un nouvel espace dédié aux vêtements en partenariat avec le français Patatam, spécialiste du traitement et de la vente de seconde main. Ce sont ainsi près de 20 000 pièces qui seront proposées dès le 15 juin aux 9 millions de clients du leader français du e-commerce.
Ce sont près de 20 000 pièces, de plus de 60 marques différentes, qui sont proposées aux clients de Cdiscount dans cette nouvelle catégorie. Les vêtements, issus de dons et dans un premier temps destinés aux femmes et aux enfants, sont triés par les équipes spécialement formées de Patatam. Une deuxième vérification de l’état des pièces est ensuite réalisée dans les entrepôts deCdiscount qui en assurent également l’expédition.
Alors que 60 000 tonnes de textiles sont jetées chaque année, Cdiscount a décidé de développer son activité tout en accompagnant ses clients dans une tendance de consommation qui favorise les produits d’occasion.
Le e-commerçant a fait le choix d’élargir son offre mode en valorisant les produits de seconde main se positionnant ainsi sur un marché en forte croissance estimé à 1 milliard d’euros en France en 2018. En intégrant la marketplace de Cdiscount, Patatam peut, de son côté, bénéficier des 20 millions de visiteurs uniques par mois de Cdiscount et de développer une stratégie omnicanale.
Alors que 30% des Français ont acheté des produits de mode en seconde main en 2018, ce partenariat s’inscrit dans l’engagement des deux enseignes de transformer sur ce marché l’acte d’achat en un acte plus responsable.
Cdiscount et Patatam se sont retrouvés dans la volonté de valoriser la seconde vie des produits. Ce partenariat nous permet d’étoffer notre offre sur la catégorie mode tout en accompagnant nos clients dans une consommation plus responsable. Aline Bourgeois-Thomy, directrice de catégorie Mode chez Cdiscount
Cdiscount souhaite proposer à ses clients de plus en plus de biens de seconde main, comme ils le font déjà avec les smartphones, la mode de seconde main était donc une suite logique. Ils nous ont sollicité il y a quelques mois afin de mettre en place le dispositif le plus simple possible pour leurs clients ! Eric Gagnaire, fondateur de Patatam
